Je dessine le plus souvent d’après photo. Je mets en image la comparaison photo dessin au travers de 6 travaux que j’ai réalisés récemment.
Il s’agit également de mettre en avant le merveilleux travail des photographes qui m’inspirent. Elles font un travail superbe pour donner confiance aux femmes sous leur objectif.
Une révolution par des images positives des femmes et de leur corps est en place. Continuer la lecture de Comparaison Photo Dessin sur 6 de mes esquisses
Plus aucune habitation ne prévoit de boudoir. Maintenant, adossé à la chambre, on trouve un dressing ou une salle de bain.
Cette pièce s’est habillée d’une réputation sulfureuse. Mais ce terme revient aujourd’hui comme un synonyme de bien-être, quand il désigne un salon de coiffure ou d’esthétique, et même d’empowerment pour les séances photo déshabillées et bienveillantes.
Pourquoi je t’en parle ? Parce que je me retrouve dans l’approche de photographes de séances « boudoir » et que cela me permet de réconcilier mon travail de nu féminin et mon engagement féministe.
Voyons ensemble un peu plus en détail l’évolution des usages et des évocations du boudoir.
Au départ, le boudoir est une salle proche de la chambre de la maîtresse de maison. Cette pièce est réservée à un usage intime.
Elle apparaît au milieu du 18ème siècle et prend son essor avec la littérature, notamment au travers La philosophie dans le boudoir du marquis de Sade (1795).
Cette pièce devient progressivement un lieu de fantasme (masculin), image qu’elle conserve actuellement.
Pour en savoir plus sur cette pièce, je conseille la lecture de cet article qui résume la thèse de Joséphine Grimm nommée « le boudoir, une pièce bien connue ? »
Dès que les femmes ont un espace de liberté alors il devient un sujet de fantasme pour les hommes. Si en plus, on y voit des femmes dévêtues, cela ne fait qu’amplifier le phénomène.
Même s’il n’est pas possible de balayer cette image d’un revers de main, le boudoir revient en force en mettant de côté le caractère sexuel.
Aujourd’hui, le boudoir reste à redéfinir.
Une pièce réservée aux femmes pour passer un moment isolé, qui ne réponde à aucune injonction de la société, ou de la famille. Si on regarde cette pièce sous cet angle, alors cette pièce devient féministe.
Loin des regards extérieurs, il est alors possible de se connecter avec soi-même.
Cette idée est reprise par des salons de coiffure ou d’esthétisme dans leur nom de l’enseigne. Des photographes proposent des séances boudoir.
Par exemple, en Auvergne, Tine (à l’origine de la photo ci-dessus) propose de telles séances, elle explique sa philosophie et qui participe à ces séances.
On retrouve des hashtags déclinant cette terminologie.
Mots clés : #boudoir, #photoboudoir, #boudoirgrossesse, #seanceboudoir, #vousetesbelles
Comptes Instagram à suivre : @jolijeudejambes_boudoir; @momentintime_carolej; @boudoiretbainmoussant; @parfaitementimparfaitboudoir; @regardetoi_; @korzeamboudoir
Ces photos sont inspirantes pour mon travail. Je réconcilie mon travail sur les femmes nues, qui me mets parfois mal à l’aise et mon engagement féministe.
La limite est la manière dont les images peuvent être sexualisées -> c’est d’ailleurs pour cette raison que je réalise des séries comme les sportives, qui permet de lever toute ambiguïté à cet égard.
Pourtant, j’aime dessiner les nus, c’est une technique que j’ai appris, que je maîtrise, qui me plait et dans laquelle j’ai trouvé mon style.
Mais à partir d’une image source (des photos dans mon cas), je réalise des interprétations artistiques variées.
Cette fois-ci, je montre comment je sélectionne mes photos, et comment à partir de l’une d’entre elles, j’ai créé deux œuvres très différentes, soit par les couleurs, soit par la technique.
Tout commence, dans mon cas, par la prise de la photographie.
Je ne réalise pas ce travail artistique, je recherche des pépites qui font une grande partie du travail pour moi. En pratique, je cherche des poses où l’ensemble du corps est visible, du bout des doigts, jusqu’au pied.
Pour ce qui est de l’arrière-plan ou bien des autres éléments de décor, je les occulte le plus souvent lorsque j’apporte mon interprétation.
Mais je veux aussi me retrouver dans l’univers proposé par le⸱la photographe et son modèle.
Dans l’exemple ici, je suis partie d’une photo publiée sur Instagram, à partir de @lesdessousdaudrey : c’est une boutique de Bordeaux avec laquelle je programme une exposition pour la rentrée. Je voulais donc trouver l’inspiration à partir de son univers.
J’ai progressivement élargi mes recherches sur Instagram et j’ai découvert des comptes de photographes tout à fait en phase avec mes attentes.
Mots clés : #boudoir, #photoboudoir, #boudoirgrossesse, #seanceboudoir
Comptes Instagram à suivre : @jolijeudejambes_boudoir; @momentintime_carolej; @boudoiretbainmoussant
A partir de la photo sélectionnée, j’ai choisi un format 24 x 32 cm pour cette esquisse. L’encre est bleue, le trait est violet et bleu. On reste dans ma palette classique.
Ce premier travail m’a permis de mieux cerner la pose, les proportions. J’ai pris quelques libertés sur la longueur des jambes, le positionnement des coussins.
Lorsque j’ai réalisé l’esquisse, je ne savais pas que j’allais peindre une toile de plus grand format.
Puis, je suis passée à un grand format, sur toile, à la peinture acrylique.
J’ai du reprendre plusieurs les proportions car j’avais commis des erreurs au départ. Mais ça se rattrape.
J’ai mis des couleurs, en restant dans les pastels, sans saturation.
J’ai introduit également des chutes de papier fleuri, ainsi que quelques fragments de métal façon « feuille d’or ».
Pour donner une idée de la taille, rien de mieux qu’un petit selfie.
Et voici mes deux interprétations artistiques basées sur une même photo.
Parfois, on se lance dans des projets loufoques sans trop savoir pourquoi. Cela a été le cas lorsque j’ai décidé de construire MON jeu de Monopoly.
Le Monopoly reste un classique des jeux de sociétés. On connait tous la rue Vaugirard, la rue de la Paix, ou les quatre gares de Paris. Et puis, il y a des formules tellement entendues comme « allez en prison, ne passez pas par la case départ, ne touchez pas 200 € ». Mais il existe également plein de versions adaptées à différentes thématiques.
Le savais-tu ? Ce jeu a été inventé en 1866 par une femme, Elizabeth Magie.
J’avais envie de me servir de ce jeu pour réaliser un projet familial, autour de notre parcours. L’idée était louable, mais la mise en œuvre a été compliquée.
Il faut s’armer de patience car créer un Monopoly complètement personnalisé demande du temps. Continuer la lecture de Monopoly personnalisé 100% fait maison
La découverte de Frida Kahlo avec mes filles s’est réalisé en plusieurs temps.
D’abord nous avons étudié la vie et les oeuvres de cette artiste. Puis, nous sommes passés à l’action. Les filles ont choisi parmi ses différentes peintures une qu’elle voudrait reprodruire ou dont elle voudrait s’inspirer. Leur choix m’a surpris, elles ont opté pour des natures mortes de pastèques.
Tout d’abord, Aurore a présenté un exposé sur cette artiste peintre devant sa classe. A cette occasion, nous avons effectué ensemble des recherches sur sa vie et ses œuvres (tu connais Vikidia, le wikipédia des enfants ? ). Nous avions aussi des ressources à la maison grâce au magnifique livre « Histoires du soir pour filles rebelles » et j’avais emprunté quelques livres à la bibliothèque.
Je ne reviendrai pas ici sur tout son parcours. Mais j’ai essayé de mettre en avant comment sa vie et ses œuvres étaient liées. Nous avons donc évoqué les pistes suivantes :
Pour en savoir plus sur cette artiste, cet article de Kazaort nous apporte quelques anecdotes supplémentaires, et tu peux trouver également une exposition imaginaire très complète dédiée à cette artiste.
Au cours de nos recherches, nous avons visionné un certain nombre de tableaux. J’ai donc proposé aux filles d’en choisir un pour le reproduire, ou créer en s’en inspirant. A ma grande surprise, elles ont écarté les autoportraits car elles les ont jugés trop complexes. Malgré mes encouragements, elles ont porté leur choix sur une nature morte de pastèque, le tableau tire son nom de l’inscription sur la pastèque « viva la vida« .
Aurore a représenté les pastèques complètes et ouvertes. Par contre, le travail de l’arrière plan assombrit la peinture dans son ensemble.
Elle a choisi comme message « j’aime la pastèque« .
Manon a travaillé la peinture avec des effets de matières.
Elle a opté pour un message permettant de signer en même temps « Viva Manon« .
Au final, leur choix est pertinent. C’est un bon moyen de mettre en avant des tableaux peu connus et elles ont passé un moment agréable à peindre, ce qui est au final le but.
Pas de souci, tu as le choix entre réaliser un flipbook, des créations à partir de Mondrian ou Arcimboldo. Ou bien, fais le tour complet des activités et choisis ce qu’il te plait.
Me voilà qui récidive avec l’alphabet en langue des signes.
Lors de ma première édition en 2016, j’avais dessiné aux feutres sur un carnet. Cette fois-ci, l’alphabet est représenté sur une grande et unique feuille de 50 x 65 cm. J’ai également dessiné aux feutres. Mais, en plus, le fond des mains est réalisé à l’encre grise, sauf pour les 4 lettres d’ELiZE.
Voici le résultat complet :
Je te présente ici le rendu sous d’autres angles.
J’ai signé sur la lettre S. C’est un clin d’oeil : car cette lettre se trouve normalement dans mon prénom, mais que je la remplace par un Z dans mon nom d’artiste.
Voici ce que cela donne une fois encadré. Des oeuvres personnalisées peuvent être commandées dans ma boutique.
Vous souhaitez un alphabet avec des couleurs différentes ?
Ou bien uniquement quelques lettres pour composer un prénom ?
C’est possible (et même recommandé). Prenez contact avec moi pour les modalités pratiques.
N’hésitez pas à me contacter, je m’adapte à vos envies.
Les dessins ont été réalisés à partir de la vidéo suivante :
Dessiner un alphabet reste un bon exercice de dessin des mains.
Et en plus, il permet de faire connaître la langue des signes. Je trouve dommage que quelques phrases de courtoisie et quelques formules de politesse ne soient pas enseigné à l’école.
Pendant le confinement, j’ai commencé à apprendre ces quelques expressions que j’aurais aimé que l’on m’apprenne pendant mes études. On a d’ailleurs appris ça avec mes filles.
Hasard… J’ai croisé des personnes signant au supermarché. J’aurai voulu leur dire mon superbe « bonjour »… Mais je n’ai pas osé car je ne sais même pas dire que c’est la seule chose que je sais dire avec « merci » et quelques toutes petites phrases.
Pour autant, cela ne me décourage pas de continuer à apprendre ces quelques phrases, même si j’ai peu ou pas l’occasion de les utiliser.
Je vous conseille d’ailleurs les vidéos suivantes :
Et toi, qu’en penses-tu ? Connais-tu la langue des signes française ?
L’inclusion, c’est quoi ?
En réalité, il est plus facile de définir l’inclusion comme le contraire de l’exclusion. Il s’agit de limiter au maximum toute forme de discrimination. Elle est à distinguer de l’intégration, qui soumet des conditions aux personnes concernées pour s’inscrire dans le groupe.
Dans mon cas, je parle beaucoup d’égalité femme / homme. Mais en creusant, on se rend vite compte que cette dichotomie du monde reste simpliste. D’une part, il y a au sein de la communauté féministe des personnes en excluant ou incluant d’autres : On parle de féminisme intersectionnel, j’ai aussi entendu parler de transphobie au sein du féminisme.
Et puis, au delà de l’égalité femme / homme, il y a autour de nous d’autres sujets d’exclusion : la grossophobie, les handicaps visibles ou non, les sourds, mais également les femmes enceintes, les enfants.
Je ne prétends pas être exhaustive , mais comme pour les femmes, mon but est de rendre visible des personnes qui font partie de notre société et qui pourtant sont peu représentées.
Lorsque je publie mes dessins autour de ces thèmes, je reçois en général un très bon accueil des communautés concernées. Je les remercie d’ailleurs.
Puis assez rapidement, quand j’établis des échanges, la question vient de savoir si je suis moi-même concernée.
« Est-ce que tu es sourde ? » (par exemple)
Et ce n’est pas le cas.
Je ne suis pas sourde, ni particulièrement grosse, je n’ai pas de handicap particulier.
Je réponds « OUI ».
Le syndrome de l’imposteur repassera 🙂
D’ailleurs, j’ajouterai même que c’est important de le faire.
Car l’inclusion passe par un soutien de tous, envers tous.
Il faut mener un travail de tolérance et il se mène en s’informant et dans les rencontres.
En 2016, lors d’un travail sur les mains, j’avais dessiné l’alphabet en langue des signes. Je reprends actuellement une série de ce type (à suivre sur Instagram).
Dans la continuité des sportives, j’ai représentés quelques handi-sportifs (je ne sais pas si le mot existe).
Chacun et chacune a le droit de se sentir bien dans son corps. Le chiffre de la balance ne compte pas.
Ces thèmes t’intéressent ? Tu souhaites acquérir une de mes esquisses ? Tu aimerais que j’aborde un sujet qui te parait important ?
Dans tous ces cas, laisse un commentaire ou prends contact avec moi en direct. Surtout n’hésite pas.
Je propose une sélection de 7 esquisses sur le thème du handisport.
L’idéal du sport est celui du dépassement de soi, ouvert à tous.
Je t’ai donc préparé quelques esquisses pour montrer qu’il est possible de pratiquer du sport, même handicapé. Je tire mon chapeau à tous ces sportifs qui m’ont servi de modèle. Continuer la lecture de 7 images sur le thème du handisport
Je devais exposer 7 battantes, 7 femmes qui, par leur action participent à montrer leur force et leur liberté.
Compte-tenu du confinement, cette exposition est reportée (ou annulée, rien n’est fixé à l’heure actuelle).
Qu’à cela ne tienne, je montre les 7 esquisses au format 20 x 20 cm que j’avais préparées.
Ces femmes sont des battantes : ne sous-estimons pas le courage exigé pour pratiquer du sport, pour assumer son corps, ou pour porter un enfant.
Pour celles et ceux qui veulent approfondir le sujet de la boxe féminine, je recommande cet article du magazine 50-50.
Représenter les femmes karateka n’est pas chose osée pour moi car leur kimono cache leur morphologie. Avec mon style de représentation, la distinction entre une femme ou un homme karateka est très subtile. Finalement, la tenue des karatekas est très pudique.
Selon les chiffres publiés par la ffk en septembre 2019, les femmes représentent 36% des licences.
J’aime rapprocher le ski et le surf : des sports de glisse dans les deux cas. C’est en dessinant que je l’ai réalisé.
Ce n’est pas le point mis le plus en avant, mais être enceinte est un effort physique et cardiaque en soi. En effet, le pouls normal au repos pour les femmes enceintes est compris entre 85 et 90 battements par minute.
Pour ça et pour toute la force et l’énergie que demande de porter dans son utérus un enfant, les mères en devenir sont des battantes.
Je représente souvent des sportives professionnelles, leur corps est donc affutés, musclés par les entrainements poussés.
Mais je tiens aussi à montrer que le sport est accessible à toutes. Aussi, je tenais à mettre en lumière Jessamyn qui est engagé en ce sens.
Dans la continuité du mouvement de Jessamyn et de body acceptance, je m’associe au mouvement pour inclure les corps dans leur diversité.
J’encourage à écouter la chouette série de podcast « Place aux gros ». Si vous devez n’en choisir qu’un, écoutez le deuxième « aimer tous les corps ».
Pour continuer sur le thème des sportives, je vous invite à lire cet article des décodeurs, du Monde qui parle de la représentation des femmes dans les fédérations olympiques versus les femmes licenciées.
Et si mes esquisses t’intéressent, elles sont en vente dans ma boutique.
Tu as peut-être remarqué que j’ai inclus sur le bas de la colonne de gauche une vue sur mes dernières publications Instagram.
J’ai créé mon compte Instagram en été 2019, je suis donc novice sur ce réseau.
Je suis à la fois détachée et fascinée :
Malgré tout, j’utilise ce réseau sociaux et je le trouve intéressant. Je m’y informe sans prise de tête, je découvre des talents.
J’indique ici comment je m’organise pour maîtriser le temps que j’y passe et en tirer le meilleur.
En général, il y a un décalage de l’ordre d’une semaine entre la réalisation d’une esquisse et sa publication. Il est très très rare que je publie sur l’instant.
Je me laisse du temps pour regrouper par thème. Par exemple, début février, j’ai mis en avant une série de boxeuses dédiée à une des mes abonnées, Myriam Lamarre championne de boxe. En septembre 2019, j’avais publié des sportives regroupées sous le hashtag #1jour1sportive.
Je suis donc en décalage : Quand je publie une image, je travaille souvent déjà sur autre chose.
Sélectionner à froid les images me permet de retirer certains ratés complets. Au moment où je termine une esquisse, je ne vois pas toujours ses défauts, qui me semblent pourtant flagrant par la suite.
Malgré tout, je souhaite publier des images « réelles », pas trop retravaillées. Je ne suis pas une multinationale à la communication convenue et aseptisée, mes imperfections me rendent humaine.
Elles me causent peut-être du préjudice pour acquérir de nouveaux abonnés (Tant pis).
Je ne suis pas les statistiques. Tu peux être en Argentine, venir voir mes publications à 10 heures du matin ou à 22 heures. Je ne changerai pas mes habitudes. Je publie le plus souvent en début de journée, vers 9h, et je ne reviens que le lendemain matin, parfois le soir vers 18h.
C’est mon rythme, il n’est peut-être pas optimal pour capter des abonnés, mais il est compatible avec mon organisation personnelle. Alors je ne vais pas le changer.
En revanche, tu trouveras certainement plein de conseils sur cette thématique, mais avant de les suivre demande-toi sincèrement si les contraintes que cela t’apporte compenseront les aspects positifs.
Pour optimiser sa présence sur les réseaux sociaux, tu peux te faire aider de logiciels. Moi, j’en utilise deux qui sont simples d’utilisation et qui me facilite la vie.
J’utilise Canva depuis peu pour réaliser des montages photos de manière très simple. Ils alimentent le blog et les réseaux sociaux.
Canva propose des modèles dédiés pour Instagram, ça me fait gagner un temps fou.
Later est une application qui permet de contrecarrer certaines contraintes imposées par Instagram. En particulier, il permet de préparer les posts sur un ordinateur. On rédige tranquillement sa publication et on programme pour plus tard, comme son nom l’indique en anglais.
Je ne l’utilise pas systématiquement… Mais tout de même en majorité car je suis plus à l’aise sur un PC que sur un smartphone.
Et puis, de cette manière, je peux préparer le week-end, une semaine de publication.
Puisque comme je te l’ai expliqué, je ne suis pas en temps réel sur Instagram, cette organisation me convient bien.
Il y a tant à dire !
En effet, sur Instagram, bien choisir ses hashtags est essentiel. Oui, mais lesquels ?